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http://www.se-unsa.org/squelettes/images/nego.png

30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 17:27

Etrange conception du dialogue social : c’est lors d’une interview à RTL que Luc Chatel vient de laisser entrevoir les contours de la revalorisation des enseignants annoncée par le Président de la République. C’est l’option la plus basse qui a visiblement été retenue. Elle exclut la très grande majorité des enseignants actuellement en exercice.

Les mesures annoncées (157 euros supplémentaires pour les débuts de carrière) ne concerneraient, en effet, que les futurs recrutés au master et par lissage, les enseignants qui n’ont pas encore atteint le 5ème échelon, soit ceux ayant 7 années d’ancienneté. Il y a fort à parier qu’à niveau de recrutement identique, de nombreux étudiants préfèreront se tourner vers l’emploi privé, nettement mieux rémunéré à diplôme égal. La question de la réduction des viviers de recrutements, induite par la mastérisation, se pose donc avec acuité.

Le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, dont on nous disait qu’il mettrait du beurre dans les épinards des enseignants, laisse un goût particulièrement amer. L’immense majorité d’entre eux, victimes chaque jour des dégâts occasionnés par cette politique, se trouve exclue du processus de revalorisation. Aucune mesure immédiate et visiblement aucune perspective nouvelle de carrière n’est envisagée pour eux à moyen ou long terme.

Pour le SE-UNSA, on est très loin du compte. Mardi matin, le ministère reçoit les organisations syndicales pour leur exposer son projet en détail. Le SE-UNSA y dénoncera des mesures qui excluent les trois quarts des enseignants. Il y fera valoir ses propositions pour une revalorisation pour tous.

La Nation vous doit une reconnaissance plus grande, de meilleures perspectives de carrière, un meilleur niveau de vie, de meilleures conditions de travail. (Nicolas Sarkozy - Lettre aux éducateurs, le 4 septembre 2007)

 Paris, le 29 mars 2010

christian.jpgChristian CHEVALIER
Secrétaire Général

Contact presse : Brigitte Biardoux 01 44 39 23 93 [Mél.]

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 00:45


Les Assises
 décentralisées de l’Éducation, réunies à Strasbourg
 le 29 janvier dernier, avaient pour thème la petite enfance. Ce fut l’occasion d’entendre Agnès Florin, professeure de psychologie de l’enfant et de l’adolescent, expliquer dans quelle mesure et sous quelles conditions la scolarisation précoce des 2/3 ans pouvait avoir un impact positif sur la suite de leur scolarité. Des représentants des collectivités territoriales ont présenté un certain nombre d’expérimentations mises en place dans des structures d’accueil (crèches ou classes passerelles). Un constat partagé évident : les progrès des enfants et leur bien-être sont plus importants là où des projets sont développés. Et c’est notamment sur la question des moyens qui s’amenuisent en maternelle que le SE-Unsa est intervenu : la scolarisation des 2/3 ans est en chute libre et connaît son plus bas niveau depuis 40 ans ; six mille classes ont fermé dans les écoles maternelles ces dix dernières années… 

Notre proposition d’avancer l’âge de la scolarité obligatoire dès 3 ans permettrait enfin d’imposer une obligation de moyens de la part de l’État . De plus, aujourd’hui, près de 100% des enfants de cet âge sont scolarisés : la pratique sociale a devancé la loi. Une question que les Assises de l’Éducation ont choisi de mettre en débat. À suivre !

Séverine Schenini
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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 17:22

 

http://www.se-unsa.org/IMG/jpg/badge-EP.jpg

Grande campagne pour l’Ecole Publique, du 16 janvier au 19 juin :
 

 

 

 
 Le SE-UNSA est l’un des initiateurs de l’Appel national pour l’Ecole Publique :
 

 

 

Notre service Public Laïque et Gratuit n’a jamais été autant menacé. Il est miné par une politique de restriction budgétaire sans précédent et une série de mesures favorisant les écoles privées. En encourageant le consumérisme scolaire, notamment à travers la désectorisation ou la loi Carle, le gouvernement prépare le terrain aux marchands d’écoles. Une action militante est fondamentale pour défendre notre modèle laïque. 
Cette pétition existe aussi sous forme "papier" pour aller à la rencontre des citoyens.

 

J’agis pour l’Ecole Publique :

 1 : Je signe !

2 : Je télécharge la pétition pour la faire signer autour de moi !

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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 17:03

http://www.se-unsa.org/UserFiles/Image/publications/enseignant/134/21b-ens134ok.jpg
Les nouvelles
 moda lités d’organisation des concours de Cpe
 viennent d’être fixées par l’arrêté du 28-12-2009.
D’une durée sensiblement allongée, ces nouvelles épreuves, bien qu’assez proches du canevas antérieur, dégagent un contenu assez différent sur l’approche du métier. 
Par exemple, à travers la deuxième partie de l’épreuve de composition, le jury semble rechercher des candidats qui auront réfléchi à « 
leur positionnement de Cpe dans et hors de l’établis sement » ! Dans le deuxième oral pour l’admission, on insiste sur « évaluer son aptitude à conseiller le chef d’établis sement dans la mise en place d’une politique éducative ».
On ressent, par contre, beaucoup moins de références à la recherche de candidats « 
aptes à dialoguer et travailler avec rayonnement, avec et au milieu des élèves ».
Sont-ce des clins d’œil aux futurs admis pour leur signifier que le concours de C
pe n’est qu’un passage vers d’autres horizons ? Cette vision du concours, si elle devait s’avérer juste, serait inacceptable et même contre-productive.

 

 

Michel Martinet
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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 00:38

Le SE-UNSA dénonce l’agression inqualifiable dont a été victime un jeune enseignant hier matin. Il apporte tout son soutien à ce collègue blessé et affiche sa totale solidarité avec l’ensemble de  la communauté éducative du collège Albert Schweitzer de Créteil.

 

Cette agression démontre combien il est urgent de traiter la question de la sécurité des personnes et des biens dans les enceintes scolaires. Ce sujet est difficile et complexe. Il ne peut se satisfaire de coups de mentons ou de sentences martiales censés redonner le moral à une majorité en berne. La réponse sécuritaire, la remise au goût du jour de « centre de redressement », la stigmatisation des familles sont autant de propositions aussi éculées qu’inefficaces.

 

Le SE-UNSA s’est félicité de l’organisation d’« Etats généraux de la sécurité à l’école », pilotés par Eric Debarbieux. Dès la semaine prochaine, le syndicat y participera et y défendra le droit absolu des élèves et des personnels à pouvoir travailler en toute sécurité. Cette question requiert d’être traitée hors de toute passion et doit, pour aboutir utilement, associer les multiples acteurs institutionnels et locaux. Dans le même temps, la question de l’encadrement éducatif, celle de la formation des personnels et de la stabilité des emplois ne pourront être indéfiniment éludées.

 

Pour le SE-UNSA, ceux qui ont érigé le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux en dogme, ne peuvent, à bon compte, s’exonérer de leur responsabilité dans la dégradation des conditions d’accueil et de sécurité des établissements.
 

Paris, le 24 mars 2010

christian.jpg 

Christian Chevalier

Secrétaire Général du SE-UNSA

 

 

Contact Presse : Brigitte Biardoux

01 44 39 23 93

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 16:47
http://www.vousnousils.fr/img/v2/logo.jpg

Préparation de la rentrée 2010 

La circulaire publiée cette semaine présente les priorités de la rentrée 2010, qui s’inscrira dans la continuité des réformes en cours (réforme du lycée et refonte de la formation des enseignants). 

Les priorités par niveau sont gouvernées par les cinq principes directeurs suivants :
- maîtriser les fondamentaux et ancrer l’éducation artistique et culturelle 
- personnaliser les parcours scolaires 
- responsabiliser les équipes et les élèves à tous les niveaux 
- accélérer le développement du numérique à l’école 
- renforcer la politique de santé et la pratique du sport 
Parmi les priorités, on notera l’installation, au collège, du nouveau diplôme national du brevet (DNB). Au lycée, l’effort portera sur l’accompagnement et l’orientation des élèves. La réforme de la voie professionnelle sera également consolidée. 

 
Egalement au Bulletin de la semaine 

93 conseillers d'administration scolaire et universitaire classe normale sont inscrits au tableau d'avancement à la hors-classe au titre de l'année 2010 
- Conseil de l’éducation : Bernadette Groison remplace Gérard Aschieri en qualité de titulaire représentant la FSU 
- Deux avis détaillent les postes vacants à l’Union nationale du sport scolaire (UNSS) et au ministère de la Défense.
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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 00:42

http://www.se-unsa.org/UserFiles/Image/publications/enseignant/134/18b-ens134new.jpg

C’est la période d’inscription à l’école maternelle. Phase importante pour les parents qui scolarisent parfois leur premier enfant, angoisse pour les directeurs qui se demandent quelles répercussions cela aura sur leur école. En effet, nous sommes aussi en pleine « carte scolaire », moment où les effectifs des écoles sont examinés à la loupe pour projeter soit des fermetures, soit des ouvertures de classes. Face à cette situation, on peut être tenté par deux démarches contradictoires : 

• limiter l’admission du nombre d’enfants de 2 ans pour ne pas surcharger les classes ; 
• accepter au contraire toutes les demandes de peur de se retrouver dans le lot des menaces de fermetures. 
Cette position est particulièrement inconfortable et conduit, assez logiquement, à agir sous la pression plutôt qu’à suivre la procédure réglementaire. 

Qui inscrit ? Qui admet les élèves ?
 Qui fixe le nombre maximum d’élèves à accueillir ? … Pour essayer de garder la tête froide mais aussi pour recadrer quelques dispositions « légales », le SE-Unsa vous propose une fiche technique récapitulant les différentes démarches à effectuer. Vous pouvez la demander à [Mél.]

Stéphanie Valmaggia-Desmaison,
Stéphane Crochet.
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24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 00:08

http://www.se-unsa.org/UserFiles/Image/publications/enseignant/134/08prim134.jpg
Le SE-U
nsa
 a œuvré à un large rassemblement d’organisations
 pour défendre notre modèle d’École publique, laïque et gratuite. Cette campagne a réuni, en moins de trois semaines, plus de 35 000 signatures. Forts de ce très bon départ, les militants du SE-Unsa s’impliquent tous azimuts dans cette initiative. 
L’objectif est qu’un maxi mum de militants laïques donnent un signal fort aux prétendants à la future élection présidentielle qui se prépositionneront dès les régionales passées. 
Côté élus de terrain, le SE-U
nsa a interpellé les maires pour qu’ils prennent des délibérations de soutien et pour que leurs conseillers munici paux signent cet appel. 
Côté citoyens, chacun d’entre nous peut apporter sa contribution en signant et en faisant signer la pétition. 
Alors d’ici le 19 juin, tous sur le pont ! Dans les écoles, les établissements et les universités, sur les marchés et les places publiques : faites connaître et signer cette pétition ! 

Enseignants de l’U
nsa, nous refusons
 de rester les bras ballants alors que nous savons que notre École est à la croisée des chemins. Nous ne voulons pas de marchands d’écoles en concurrence où la compétition serait érigée en vertu cardinale. Nous voulons une École de la réussite où les futurs citoyens apprennent la solidarité, non comme une aumône, mais comme un acte gratuit. Nous voulons une École où la laïcité soit garantie pour que l’esprit critique des jeunes puisse s’aiguiser en toute liberté.

Laurent Escure

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 00:11

 

http://www.se-unsa.org/UserFiles/Image/publications/enseignant/134/20a-ens134.jpg
Dans 
les collèges, tous les indicateurs sont au rouge.
 La carte scolaire sera difficile. Finie la baisse démographique, les effectifs seront en hausse : on attend 12 200 élèves de plus selon les prévisions ministérielles. Pour y faire face, les moyens dévolus globalement au second degré sont en apparence inchangés. En réalité, il faut déduire des dotations académiques les 4000 équivalents temps pleins corres pondant aux emplois de stagiaires supprimés dans le cadre de la réforme de la formation des enseignants. 
Déclinés dans les départements, ces chiffres ne peuvent qu’amener à des situations catastrophiques. En Seine-Saint-Denis par exemple, près de 1000 élèves supplémentaires auront en face d’eux… 15 enseignants de moins ! Dans la Somme, 150 élèves de plus pour 23 postes de moins. 

Tout est mis en œuvre pour récupérer des moyens. 
• Les horaires sont systématiquement des horaires plancher : dans le Nord, les deux heures « libres » n’existent plus. 
• Les effectifs par classe sont en hausse et les moyennes supérieures à 29 élèves par niveau sont monnaie courante. Les collèges de l’éducation prioritaire et même ceux en Rar
(1) ne sont pas épargnés. 
• La Segpa est à nouveau remise en cause. Dans l’académie de Bordeaux, par exemple, les moyens sont globalisés dans un T
rmd(2) commun. La transformation des heures d’ensei gnement professionnel en heures de technologie est l’occasion de faire disparaître les dédoublements.
• La part des heures supplémentaires dans les D
hg(3) ne cesse de monter. 
Des élèves en plus, des postes en moins, des heures supplémentaires à la pelle : pas de doute, les conditions de travail en collège vont encore se dégrader à la rentrée prochaine.

Antoine Tresgost
(1) Réseaux ambition réussite.
(2) Tableau de répartition
des moyens par disciplines.
(3) Dotation horaire globale.

 

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 16:22

http://www.se-unsa.org/UserFiles/Image/publications/enseignant/134/06b-ens134.jpg
Le SE-U
nsa 
avait con damné trois dispositifs de la loi sur la mobilité
 adoptée l’an dernier : 
• la création d’une position de réorientation professionnelle pour les fonctionnaires, 
• le développement du recours à l’emploi précaire, 
• le recours à l’intérim.
La réorientation professionnelle prévoit qu’un agent de l’État, dont l’emploi est supprimé dans le cadre d’un projet de réorganisation ou d’évolution de l’activité de service, peut être mis en disponibilité. Il perd alors sa rémunération s’il refuse trois propositions successives de mutation. S’il décline à nouveau trois offres, il est licencié.
Que n’a-t-on pas entendu sur ces fonctionnaires qui seraient payés à ne rien faire parce qu’ils ne veulent pas d’une mutation ! Il est nécessaire de rappeler que ne pas accepter une affectation peut entraîner une procédure de radiation pour abandon de poste. Dans le cas présent, il s’agit de tout autre chose. 
Ce décret offre la possibilité à l’État de réduire le Service public et de redéployer ses fonctionnaires dans d’autres missions ou d’autres services. Éric Woerth le considère d’ailleurs comme la « boîte à outils » nécessaire à la réorganisation de l’État.
Pour l’U
nsa-Fonction Publique, c’est une nouvelle atteinte au statut qui remet en cause la garantie de l’emploi. Boucs émissaires désignés du déficit budgétaire, les fonctionnaires sont une nouvelle fois montrés du doigt.
Le SE-U
nsa le condamne fermement.

Guy Barbier

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