Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog du SE-UNSA 971 COMMUNICATION
  • : Le SE UNSA GUADELOUPE met à la disposition de ses adhérents et de ses sympathisants les informations syndicales nationales, académiques et départementales de l'Académie de la Guadeloupe ( mouvements, promotions,...)
  • Contact

Adhérez au SE


Le SE-UNSA ne vit, ne peut vous informer, agir, s’opposer et proposer que grâce aux cotisations de ses adhérents.

Soyez solidaires ; n’hésitez pas à nous rejoindre !

Il n’est jamais trop tôt pour adhérer !


Cliquez ici!

CLIQUEZ ICI POUR ADHEREZ 

Modalités pour le nouvel adhérent

 

1)      Le collègue intéressé remplit son bulletin d'adhésion en ligne comme auparavant

2)      Il choisit le mode de paiement par carte bancaire (le choix par chèque ou par prélèvements fractionnés reste possible)

3)      Il est redirigé sur un site sécurisé où il saisit son numéro 16 chiffres de carte bancaire et son cryptogramme

4)      Après validation il reçoit un mél de confirmation lui indiquant les coordonnées de sa section de rattachement (s'il a indiqué une adresse électronique) et est redirigé vers l'accueil de notre site


 

Recherche

Contacts

Pour nous écrire,
cliquez ici.971@se-unsa.org

Profil de Se-unsa Guadeloupe
Profil Facebook de Se-unsa Guadeloupe

Archives

EVENEMENTS DU SE-UNSA

SE unsa guadeloupe 

* MUTATION INTRA *

http://4.bp.blogspot.com/-etgJcFWaP4A/UZsGmL--DzI/AAAAAAAARDM/FKOUXm9lhWo/s320/%253D%253Fiso-8859-1%253FQ%253FUne-Enqu%253DEAte-30k_copie-763805.png%253F%253D

http://www.se-unsa.org/squelettes/images/nego.png

25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 07:14
Nous avons appris cette mesure de DARCOS par voie de presse. Nous n'en sommes pas à l'initiative et nous désapprouvons ce qui pourrait paraître comme une revalorisation des enseignants du 1er degré alors que cela va concerner seuelement quelques collègues. Même si c'est une bonne nouvelle pour les enseignants de CE1 et CM2, ce n'est pas comme cela que le gouvernement (cf. lettre de SARKOZY aux éducateurs) résoudra la question d ela revalorisation. Le SE-UNSA demande autre chose. En conformité avec nos mandats, nous avons demandé qu'une ISOE soit versée aux enseignants du 1er degré.
Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 07:12

Le “garde-à-vous” en poupe ?

 

Certains pourraient penser que nous avons changé de ministère de tutelle. Certes le kaki n’est pas encore obligatoire mais l’autoritarisme hiérarchique reprend du galon. Que ce soit sur les modules d’aide personnalisée où l’on impose le jour, l’heure, la forme, que ce soit sur l’organisation du service des enseignants (tableau de contrôle de l’effectuation des 108h), que ce soit sur l’enseignement des langues vivantes (exigence de décloisonnement), tout sujet est bon pour faire rentrer les enseignants du 1er degré dans le rang. Et attention, aucune tête ne doit dépasser ! D’où vient ce vent de caporalisation ? Au SE-UNSA, nous ne sommes pas naïfs : nous savons que la pression exercée par le Ministre et son cabinet sur les autorités locales est plus pesante que jamais. Il n’est donc pas très étonnant que les Recteurs puis les IA aient tendance à faire peser cette pression sur l’échelon des IEN, en la majorant parfois très fortement. Du coup, le dernier maillon de la chaîne, les enseignants, récupère cette pression puissance mille. De plus en plus exigeant, de plus en plus évolutif et rapidement, le métier se complexifie. Les enseignants ont besoin de boussoles qui leur indiquent le cap à atteindre mais leur laissent le champ libre sur le chemin emprunté. Le respect de la liberté pédagogique, la confiance au professionnalisme et à l’expérience, des rapports hiérarchiques non infantilisants : est-ce trop demander ? Pour le SE-UNSA, il est temps de nouer un contrat-confiance entre les enseignants et leur hiérarchie : c’est dans l’intérêt certes des personnels mais aussi de la qualité du service public d’éducation, ne l’oublions pas !

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:26

Il faut savoir, en effet, que ce n’est pas une commission qui statue sur les dossiers de changement de département mais un simple logiciel, paramétré par le Ministère et qui fonctionne ainsi depuis 15 ans environ.

 

Nouveauté cette année :

Les phases sont inversées. On commencera par les mutations avant de faire tourner l’algorithme sur les permutations.

 

Quelles incidences ?

Statistiquement le rapprochement de conjoint devrait être plus satisfait puisque c’est essentiellement dans la phase de mutation que le barème est déterminant.

 

Toutefois, nous devons vous prévenir qu’un bon barème ne suffit pas et que, d’autres éléments entrent en jeu :

-          l’attractivité de votre département d’exercice (pour vous en laisser partir, il faut que d’autres veuillent bien y entrer …)

-          l’attractivité du ou des département(s) que vous sollicitez : si vous êtes nombreux, venant de toute la France, à vouloir y entrer, les possibilités seront plus réduites

-          la situation en personnels de ces départements : les IA ne peuvent laisser sortir tous ceux qui voudraient s’ils ne sont pas sûrs de pouvoir compenser avec des entrées : il faut qu’à la rentrée, les IA aient des enseignants à mettre sur les postes.

 

 

Il y a donc 2 temps successifs qui tentent de répondre à ces contraintes :

- les mutations (déterminées en fonction des prévisions d'équilibre des IA : nombre de postes vacants, acceptation de déficit en personnels, sorties non satisfaites lors des permutations …).

et

- les permutations (autant d'entrants que de sortants)

 

 

1er temps : LES MUTATIONS INFORMATISEES

Ces « mutations » sont déterminées en fonction des prévisions d'équilibre des IA : nombre de postes vacants, départs à la retraite, recrutements PE …

Elles permettent :

à dans un premier temps, de résorber les surnombres d'enseignants dans les départements dits excédentaires,

à dans un deuxième temps, de muter des enseignants originaires de départements dits déficitaires (cela permet de ne pas pénaliser ces collègues qui ont quand même des barèmes élevés).

 

- Chaque IA "calibre" un nombre d'entrants et de sortants pour son département en prévision de sa prochaine rentrée scolaire.

- Les candidats sont classés par ordre d'importance de leur barème au plan national pour sortir de leur département mais aussi pour entrer dans un ou d’autres.

Il faut que deux conditions soient réunies : faire partie des x plus forts barèmes pour sortir de son département de rattachement (x étant le nombre de sorties possibles fixé par l’IA d’origine) et dans les y plus forts barèmes pour entrer dans l’autre (y étant le nombre d’entrées possibles fixé par l’IA d’accueil).

 

 

2ème temps : LES PERMUTATIONS INFORMATISEES

Il s’agit au niveau des « permutations », d’un « échange » nombre pour nombre (poste pour poste) entre plusieurs départements. Dès qu’il y a possibilité de sortie, elle doit être comblée par une entrée

 

Trois phases dans le même programme informatique :

 

- 1ère phase : Le candidat "A" qui a le barème le plus élevé au plan national est extrait du fichier et chacun de ses vœux est testé. Le logiciel mesure les possibilités d'accueil dans l'un des départements sollicités, c'est-à-dire que l'on recherche s'il existe un collègue "B" dans un de ces départements, qui postule lui-même sur le département du candidat "A" et qui doit en plus posséder le barème le plus élevé au niveau national parmi tous ceux qui veulent aussi intégrer le département du collègue "A". Vu la somme de conditions à réunir, les résultats sont dérisoires.

 

- 2ème phase : L'ordinateur établit la chaîne qui satisfait le plus grand nombre de candidats au plan national. Le barème intervient pour départager, entre eux, les candidats d'un même département.

à Système le plus efficace mais uniquement sur le vœu 1 : attention !

EXEMPLE :

A partir des demandes, l'ordinateur établit une chaîne entre le plus de départements possibles en tenant compte d'une exigence : tout « exeat » d'un département doit être compensé par un « ineat ».

à La chaîne retenue permet d’inclure le 81 et le 15. Le collègue X du 81 (Tarn) admis dans le 15 (Cantal) a été choisi parmi toutes les demandes d'ineat du 81 vers le 15 dans l'ordre du barème et ainsi de suite entre tous les départements de la chaîne.

Si un collègue du 67 (Bas-Rhin) ayant un meilleur barème que le collègue X sollicite son ineat dans le 15, il n'aura pas satisfaction car le 67 ne fait pas partie de la chaîne.

 

- 3ème phase : Toutes les demandes non satisfaites lors des 2 premières phases sont à nouveau réétudiées. Le logiciel évalue s'il est encore possible d'effectuer un échange simple entre 2 départements, en effectuant une recherche sur la totalité des vœux. C'est le barème le plus élevé qui départage les candidats. Très peu de satisfaits.

 

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:23

La circulaire dit : "Ils (les maîtres-formateurs) pourront, s'ils le souhaitent, assurer des heures d'aide personnalisée auprès d'élèves de leur école ou d'écoles proches. Ces heures seront rémunérées en heures supplémentaires."

Il faut donc se préoccuper de l'effectivité de cette mesure auprès de vos IA avant que les collègues ne s'engagent dans l'AP :

- y a t-il bien un budget consacré ? Si oui, combien ?

- quel est le taux horaire de rémunération de ces heures ?

- comment s'effectue l'autorisation ?

 

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:21

En toute logique un gamin qui a un PPRE a peu de chances de ne pas se voir proposer un PPRE ; par contre la réciproque n'est pas vraie. Tout éléve pris en AP n'a pas forcément besoin d'un PPRE.

 Voilà ce qu'en dit la circulaire 2008-105 : "En fonction des difficultés rencontrées par les élèves, l’aide personnalisée peut s’intégrer à un programme personnalisé de réussite éducative (PPRE) ou prendre la forme d’un autre type d’intervention, en petit groupe par exemple. Ces actions peuvent se développer en lien avec le dispositif global d’aide aux élèves.

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:19

De mon point de vue la réponse est oui : pourquoi ?

Parce qu'étant une activité hors obligation scolaire, elle entre dans le champ des activités facultatives et est donc soumise à une exigence de couverture assurantielle supplémentaire qui doit couvrir  le risque de dommage causé par l'enfant, mais aussi celui subi par lui. 

Je pense d'ailleurs qu'on peut étendre cette problématique posée par l'AP à l'accompagnement éducatif et aux stages de remise à niveau CM.

 Ce que dit la réglementation à ce sujet :

LE RÔLE ET LA PLACE DES PARENTS À L’ÉCOLE
C. n° 2006-137 du 25-8-2006
"L’admission d’un enfant dans une école ou un établissement scolaire, tout comme sa participation aux activités scolaires obligatoires, c’est-à-dire se déroulant dans le cadre des programmes et sur le temps scolaire, ne peut être subordonnée à la présentation d’une attestation d’assurance. L’assurance est toutefois vivement conseillée. À cet égard les familles doivent être informées par les directeurs d’école et les chefs d’établissement en début d’année qu’elles ont le libre choix de leur assurance.
L’assurance est en revanche obligatoire pour les activités facultatives auxquelles participent les enfants, comme certaines sorties scolaires, pour couvrir à la fois les dommages dont l’enfant serait l’auteur (assurance de responsabilité civile) ainsi que ceux qu’il pourrait subir (assurance individuelle - accidents corporels)."

 

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:19

Il faut que les collègues incluent la pause "récréa-goûter" d'après 16h30 dans le temps d'aide directe des 60h. Il est vrai que si les séances sont faites sur des modules de 30 mn, ça dimunue sérieusement le temps d'AP mais tant pis !

 Pourquoi ?

- Il n'y a aucune raison qu'une nouvelle contrainte horaire s'ajoute à ce temps, qui conduirait à nous faire dépasser nos obligations de service (et beaucoup pour ceux qui organisent 4 séances par semaine).

- Ce n'est pas la même chose que pour l'accueil du matin ou de l'après-midi où, là, l'institution doit accueillir les élèves 10 mn avant le début des cours : rappelons que c'est du temps hors scolaire et que les mêmes obligations ne nous incombent pas en la matière.

- Cette pause est un temps éducatif au même titre que les récréations et elles prennent bien place, depuis toujours, sur le temps d'enseignement ; elles ne sont pas du temps en plus des cours mais en font partie. Cela doit être la même chose pour l'AP.

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:16

Que devient le temps d’organisation alors ?

C’est une interprétation pure et simple et bien sûr abusive ! En effet les textes spécifient : « soixante heures consacrées à de l’aide personnalisée auprès des élèves rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages et au temps d’organisation correspondant » (décret) ; « soixante heures consacrées à de l’aide personnalisée ou à du travail en petits groupes, notamment en maternelle, auprès des élèves rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages et au temps d’organisation correspondant. » (circulaire)

ET « Le temps d’organisation correspondant à l’aide personnalisée permet d’identifier les élèves en difficultés et de prévoir les modalités de cette aide pour ceux qui en bénéficieront. » (circulaire)

 

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:13

Le projet de mouvement sera transmis individuellement à chaque collègue concerné par l’IA, avant la CAPD. Si les CAPD devaient entraîner trop de chaînes ou de cascades, l’IA pourrait décider de ne pas en tenir compte et de maintenir le projet initial. C’est quoi l’objectif réel ? La transparence ou le contournement des élus du personnel ?

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:12

Le texte insiste sur la nécessité d’une adéquation « poste-personne » ce qui entraîne des possibilités exponentielles de postes à profil avec des collègues choisis selon des modalités qui appartiennent complètement à l’IA et hors barème, voire hors certifications et diplômes. Le SE-UNSA a bien repéré l’insistance lourde sur le caractère indicatif du barème et l’appel du pied fait aux IA de faire du hors barème dès qu’ils le souhaitent : quelle garantie du traitement équitable et transparent dans ce cadre ? A quand l’affectation «  gré à gré » ?

Partager cet article
Repost0

Contacts

Météo

outils webmaster
 Bienvenue en Guadeloupe!