Le ministre de l'Education Xavier Darcos a affirmé vendredi 4 avril que les candidats retardataires jeudi aux épreuves de l'agrégation au centre d'examens d'Arcueil (Val-de-Marne) étaient au nombre de 28, et confirmé devant la presse qu'aucune solution de rattrapage n'était possible pour eux.
"Les candidats sont convoqués trois quarts d'heure avant le début des épreuves, à 8h15 pour les épreuves qui commencent à 9h. Il se trouve qu'à Paris, 28 d'entre eux sur les 7.500 sont arrivés en retard", a déclaré le ministre aux journalistes.
"Il est hélas impossible d'imaginer, soit qu'on les ait acceptés au-delà de l'heure d'ouverture du concours, faute de quoi nous aurions des recours - la jurisprudence est constante, tout le monde doit être dans la même situation et commencer au même moment et aucune aller-et-venue n'est possible , qu'on refasse passer toutes les épreuves à tout le monde et dans toute la France et dans toutes les disciplines concernées", a-t-il poursuivi.
"Je suis obligé de dire que nous ne pouvons pas trouver une solution qui soit favorable à ces quelques retardataires, quelque sympathie que j'aie pour eux", a conclu le ministre.