Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog du SE-UNSA 971 COMMUNICATION
  • : Le SE UNSA GUADELOUPE met à la disposition de ses adhérents et de ses sympathisants les informations syndicales nationales, académiques et départementales de l'Académie de la Guadeloupe ( mouvements, promotions,...)
  • Contact

Adhérez au SE


Le SE-UNSA ne vit, ne peut vous informer, agir, s’opposer et proposer que grâce aux cotisations de ses adhérents.

Soyez solidaires ; n’hésitez pas à nous rejoindre !

Il n’est jamais trop tôt pour adhérer !


Cliquez ici!

CLIQUEZ ICI POUR ADHEREZ 

Modalités pour le nouvel adhérent

 

1)      Le collègue intéressé remplit son bulletin d'adhésion en ligne comme auparavant

2)      Il choisit le mode de paiement par carte bancaire (le choix par chèque ou par prélèvements fractionnés reste possible)

3)      Il est redirigé sur un site sécurisé où il saisit son numéro 16 chiffres de carte bancaire et son cryptogramme

4)      Après validation il reçoit un mél de confirmation lui indiquant les coordonnées de sa section de rattachement (s'il a indiqué une adresse électronique) et est redirigé vers l'accueil de notre site


 

Recherche

Contacts

Pour nous écrire,
cliquez ici.971@se-unsa.org

Profil de Se-unsa Guadeloupe
Profil Facebook de Se-unsa Guadeloupe

Archives

EVENEMENTS DU SE-UNSA

SE unsa guadeloupe 

* MUTATION INTRA *

http://4.bp.blogspot.com/-etgJcFWaP4A/UZsGmL--DzI/AAAAAAAARDM/FKOUXm9lhWo/s320/%253D%253Fiso-8859-1%253FQ%253FUne-Enqu%253DEAte-30k_copie-763805.png%253F%253D

http://www.se-unsa.org/squelettes/images/nego.png

19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 14:50

Dans le cadre des discussions sur la mastérisation de la formation des enseignants, le cabinet de Valérie Pécresse recevait les organisations syndicales ce 12 décembre. Cette séance a très vite tourné court devant la parodie de négociation à laquelle nous avons assisté : aucun sujet mis en débat, aucune information. Les 18 organisations présentes ont alors décidé de quitter la séance. Cet épisode démontre les conditions particulièrement difficiles du dialogue, que ce soit avec le ministère de l'Enseignement supérieur ou avec celui de l'Éducation nationale sur cette question. À ce jour, nous n'avons toujours aucune information, ni concertation, sur les mesures tran­sitoires envisagées pour les non-admis aux concours 2009. Nous ne savons toujours pas comment seront organisés les stages pratiques de formation pour les étudiants et pour les stagiaires. Quel sera l'avenir des Emf ? Comment seront choisis les terrains de stages ? Comment seront désignés les classes qui recevront les stagiaires ? Quelle formation ? Quelle rémunération ? Quel temps de concertation pour les collègues concernés ? Quelle modalités pour permettre aux étudiants originaires de milieu modeste d'accéder au métier d'enseignant et de garantir ainsi une mixité sociale indispensable ?

Les seules choses actuellement stabilisées sont les maquettes des concours et la date de remise des projets de masters par les universités.

  • Concernant les concours, le ministère de l'Éducation nationale a soumis ses projets aux organisations syndicales.

Au SE-Unsa, nous continuons à penser que l'épreuve orale, qui consiste en une leçon « virtuelle » devant un jury ne comportant aucun enseignant (sic), ne peut permettre de juger des futures aptitudes professionnelles des candidats.
• Concernant les projets de maquettes des masters, le cadre général en est désormais défini par l'Aéres(*). Elle insiste fortement sur « la place essentielle des stages dans ce master » et sur la nécessité que les objectifs proposés dans ces masters « soient conformes au cahier des charges de la formation des maîtres » élaboré en 2006. Ceci étant, on peut craindre que le pire côtoie le meilleur au vu de l'urgence dans laquelle s'effectue l'élaboration de ces masters. Les universités bénéficient d'un délai pour présenter leurs maquettes. L'Aéres devra avoir achevé son travail d'évaluation et de validation des maquettes le 15 avril prochain.

 

Christian Chevalier
(*) Agence d'évaluation et de recherche
de l'Enseignement supérieur.

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2009 5 16 /01 /janvier /2009 04:55

L’AERES (Agence d’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche) vient de rendre publique les « repères pour l’évaluation des masters métiers de l’enseignement ». Il s’agit du cadrage national qui doit servir à valider ou non les maquettes proposées par les universités.

Les universités ont jusqu’au 15 février pour rendre leurs projets de maquettes. L’AERES doit les avoir validées pour le 15 avril.

L’avis du SE-UNSA : L’AERES insiste fortement sur la « place essentielle des stages » dans ce master et sur la nécessité que les objectifs proposés dans ces masters « soient conformes au cahier des charges de la formation des maîtres » élaboré en 2006. C’est un aspect positif. Ceci étant, on peut craindre que le pire côtoie le meilleur au vu de l’urgence dans laquelle s’effectue l’élaboration de ces masters.

 

Le document de l’AERES

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 04:53

Le ministère vient de faire connaître ses projets de maquettes de concours « nouvelle formule ».

L’avis du SE-UNSA : Nous continuons à penser que l’épreuve orale qui consiste en une leçon « virtuelle » devant un jury dont la caractéristique actuelle est qu’il ne comprend aucun enseignant (sic) ne peut permettre de juger des futures aptitudes professionnelles des candidats.

 

Les projets de maquettes des concours

Partager cet article
Repost0
14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 04:50

Le ministère vient de faire connaître le nombre de places mises au concours 2009.

L’analyse du SE-UNSA :

Dans le premier degré : les chiffres annoncés dans le cadre de la préparation budgétaire se confirment : baisse de 2818 places tous concours confondus, ce qui correspond à une chute de 28,23%. La baisse est particulièrement significative sur les concours externes. A noter, dans un tel contexte, une augmentation des recrutements langues régionales (externe et interne) et une augmentation de 25% des postes handicap (recrutement par contrat) qui passent de 120 à 150.

 

La répartition par académie n’est pas encore connue, mais dans certaines académies elle pourrait fragiliser fortment les petits sites départementaux.

 

Dans le second degré : très forte stabilité. Pour tous les concours du second degré, nous retrouvons exactement les mêmes chiffres qu’en 2008. Les seules modifications un peu significatives concernent :

      -          le CAPES où pour augmenter légèrement (+33) les recrutements en externe, on diminue d’autant le CAPES troisième voie qui passe à 50.

      -          Le CAPLP voit son nombre de postes augmenter de 30, mais au détriment du concours troisième voie qui perd 30 poste… et disparaît !

Les répartitions par discipline évoluent très peu. A noter une augmentation importante des recrutements en PLP Vente (concours externe et interne)

 

Le détail des chiffres et le communiqué de presse du SE-UNSA

Partager cet article
Repost0
13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 04:47

Quand le président de la République se lâche, il félicite Xavier Darcos pour le réformes entreprises et notamment pour « la suppression des IUFM ». Pour ceux qui pensaient que IUFM avaient encore un avenir… les ambigüités sont levées !

 

La dépêche AFP

Partager cet article
Repost0
4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 09:53

Extrait de la note à Mesdames les rectrices et Messieurs les recteurs d'académie ;

Mesdames les inspectrices et Messieurs les inspecteurs d'académie, directrices et directeurs des services départementaux de l'éducation nationale

et à Monsieur le chef du service de Saint Pierre et Miquelon

 

  • I. 3.3 - Éléments liés à l'objectif d'une gestion qualitative des affectations

 

La prise en compte de situations personnelles et professionnelles particulières justifie de traiter prioritairement

certaines demandes. Compte tenu de leur spécificité, ces affectations pourront se faire hors barème.

  • S'agissant des demandes de personnels relevant de l'article 60 de la loi n°84-16 du 11 janvier 1984 modifiée (personnels handicapés, agents séparés de leur conjoint ou qui se sont investis dans les écoles les plus difficiles pendant au moins cinq ans), celles-ci pourront être examinées en dehors de l'application du barème.

 

Affectation des néo-titulaires : vous porterez une attention particulière aux enseignants entrant dans le métier qui recevront, de préférence, une affectation protégée qui sera traitée, si besoin est, hors barème. Je vous invite en particulier à n'affecter dans les écoles du réseau ambition réussite que les néo-titulaires volontaires.

Les néo-titulaires bénéficieront d'un accompagnement visant à favoriser leur prise de fonction. Cet accompagnement impliquera les inspecteurs de l'éducation nationale, les conseillers pédagogiques

départementaux et les directeurs d'école et se traduira par le choix d'enseignants référents, des formations adaptées, une organisation du service des néo-titulaires qui exclut dans l'emploi du temps les classes les plus difficiles (CP, CM2)...

Il pourra par ailleurs s'inscrire dans la pratique du compagnonnage qui sera généralisé lors de la réforme du recrutement en 2010.

 

III. 2. 3 - Affectation des néo-titulaires

Une gestion plus qualitative des affectations doit vous conduire à faciliter l'entrée dans le métier des néotitulaires.

Leur première affectation sera protégée et pourra être traitée hors barème pour éviter les écoles ou les postes

les plus difficiles (écoles en ZEP, en réseau Ambition Réussite, postes fractionnés...). Je vous invite en particulier à n'affecter dans les écoles du réseau ambition réussite que les néo-titulaires volontaires.

Les néo-titulaires bénéficieront d'un accompagnement visant à favoriser leur prise de fonction.

Cet accompagnement impliquera les inspecteurs de l'éducation nationale, les conseillers pédagogiques départementaux et les directeurs d'école et se traduira par le choix d'enseignants référents, des formations adaptées, une organisation du service des néo-titulaires qui exclut dans l'emploi du temps les classes les plus difficiles (CP, CM2)... Les formations adaptées se dérouleront, dans toute la mesure du possible, hors du temps de présence devant élèves.

Il pourra s'inscrire dans la pratique du compagnonnage destiné à être généralisé lors de la réforme du

recrutement en 2010.

Par ailleurs, cette première affectation sera, dans toute la mesure du possible, une affectation à titre définitif et non plus à titre provisoire. Ceci contribuera à éviter l'instabilité des équipes enseignantes.

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 03:18

Une proposition de résolution du parlement européen met l’accent sur la nécessité d’investir dans la formation continue des enseignants. Mais nous assistons, en France, à une mise à sac de ce qui reste de celle-ci dans l’Éducation nationale, notam­ment dans le premier degré.
Ainsi, la masterisation de la formation initiale des enseignants va-t-elle impac­ter lourdement la formation continue. La suppression de l’année de stagiaire a pour conséquence de faire disparaître les stages « filés » et les stages « massés ». Cela supprime la possibilité, offerte à plusieurs dizaines de milliers de professeurs des écoles, de prendre part à des sessions de formation continue sur leur temps de travail. Rien n’est à ce jour prévu pour les remplacer.
Mais la masterisation, au-delà du remplacement effectué par les stagiai-res, pose plus largement la question de l’existence même de la formation continue telle que nous la connaissons depuis les années soixante-dix. En effet, l’opérateur principal de celle-ci est l’Iufm. Outre les contenus proposés, l’Iufm permettait d’assurer une formation continue de proximité dans les antennes départementales. Avec leur disparition, qui va la prendre en charge ? Les universités, les corps d’inspection, les établissements ? À ce jour, le SE-Unsa n’a obtenu aucune réponse.

La formation continue des enseignants,
comme d’autres sujets, pourrait faire les frais des économies budgétaires. L’Institution pourrait abandonner aux universités,
voire à des entreprises privées spécialisées, la formation continue des enseignants. Charge à ces derniers de trouver le temps et l’argent pour continuer à se former tout au long de leur carrière.
Pour le SE-Unsa, cela constituerait une régression sans précédent. Une fois de plus, elle illustrerait que ce qui guide le gouvernement, ce n’est hélas pas l’intérêt du Service public, mais les économies budgétaires et une concep­tion rétrograde du métier d’enseignant.

Christian Chevalier

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 06:11

Pour le SE-UNSA, il est inacceptable que cette note de service anticipe des modifications éventuelles actuellement en cours de discussion avec le cabinet notamment sur l’évolution du recrutement, de la formation des enseignants et de l’entrée dans le métier. Le Ministère préempte largement ce qui ne rentrerait en application, de toute façon, qu’à la rentrée 2010 (compagnonnage …).

Les dispositions de la note de  service ne s’appuyant sur aucun texte règlementaire, nous en avons demandé le retrait.

Il est prévu :

à que les néo-titulaires reçoivent, de préférence, une affectation protégée qui serait traitée, si besoin, hors barème. Par ailleurs, cette première affectation serait, dans toute la mesure du possible, une affectation à titre définitif et non plus à titre provisoire. On perçoit vite le blocage du mouvement que cela entraîne pour tous les titulaires …

à les néo-titulaires bénéficient d’un accompagnement, de formations adaptées, d’enseignants référents (dont le directeur d’école, ce que le SE-UNSA a vivement réfuté, textes à l’appui …).

Partager cet article
Repost0
15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 06:35

Le ministère vient de nous faire parvenir le projet de maquette des futurs concours de recrutement des enseignants. Ce texte est le résultat des discussions qui ont été conduites par le cabinet sur cette question.

Le projet de maquette s’articule autour de 4 épreuves : 2 épreuves écrites d’admissibilité qui comptent pour 40% et 2 épreuves orales d’admission qui comptent pour 60% dans la note finale.

Les deux épreuves écrites du concours de professeurs des écoles porteront sur le français/culture humaniste et les mathématiques/culture scientifique et technologique. La première épreuve orale sera un exercice pédagogique et la seconde une épreuve de connaissance du système éducatif. Il est à noter que quatre pré-requis sont désormais exigés pour les professeurs des écoles : une attestation de natation, une attestation de secourisme, le C2i et une attestation de maîtrise d’une LVE.

Les deux épreuves écrites des concours de professeurs du second degré et de CPE porteront sur la culture générale disciplinaire. La première épreuve orale sera un exercice pédagogique d’une durée de 4h. La seconde aura la même durée et évaluera la connaissance du système éducatif des candidats

Les épreuves et programmes de l’agrégation sont eux maintenus en l’état. L’épreuve orale actuelle sera « infléchie » dans le sens d’un exercice pédagogique et l’épreuve de connaissance du système éducatif est introduite.

 

L’ANALYSE DU SE-UNSA


Les points positifs

-          Une architecture unique. Le projet de maquette qui est présenté, est comme nous le souhaitions, un projet qui n’entre pas dans les détails concours par concours, mais qui fixe l’architecture générale des concours d’enseignant. Cette architecture est la même pour tous les concours qu’ils soient du premier comme du second degré. Elle consacre l’unicité du métier. C’est un aspect important.

 

-          Le référentiel de compétences, du cahier des charges de la formation constitue la référence dans l’élaboration des épreuves des concours. Pour le SE-UNSA, cet aspect est fondamental : il ancre, au moins sur le papier, la formation dans une logique professionnelle.

 

-          Une épreuve de « connaissance du système éducatif » est instituée. Cette épreuve orale d’admission est une épreuve d’analyse et de réflexion sur la base d‘éléments tels que l’histoire du système éducatif, ses valeurs (notamment laïcité), les droits et devoirs du fonctionnaire…

 

-          Les programmes du concours sont ceux du niveau concerné. La référence est désormais, pour tous les corps, celle des programmes scolaires du niveau concerné. Cela devrait permettre d’ancrer la formation et le concours dans la réalité scolaire et non dans des considérations disciplinaires sans rapport avec la réalité du métier.

 

Les points négatifs

-          L’épreuve orale pédagogique d’admission. Cette épreuve consiste en une « leçon » devant, non pas des élèves, mais devant un jury. Pour le SE-UNSA, cet exercice virtuel ne donne pas un signal suffisamment fort aux universités pour faire des stages un contenu important des modules des futurs masters. Ainsi on peut craindre que les universités, comme les étudiants, ne se dispensent de ces stages – qui ne seront plus que des stages d’observation ou pratique accompagnée- dès lors que cette pratique n’est pas valorisée dans le concours.  La conséquence (dramatique) de ceci pourrait être l’affectation dans des classes de lauréats, certes titulaires d’un master, mais totalement ignorants de la réalité d’une classe d’élèves.

 

-          La composition du jury. Le projet de texte prévoit que le jury soit composé de  personnels de direction, de membre de l’administration et de la hiérarchie et de membres de la société civile. Aucun praticien n’en fait partie, ce qui est un comble au moment de juger de l’aptitude pédagogique d’un candidat !!

 

 

L'intégralité du projet de maquette

Partager cet article
Repost0
25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 11:13

De façon unilatérale, Xavier Darcos a annoncé que tous les T1 (premier et second degrés) percevraient à cette rentrée une prime d’installation d’un montant de 1 500 euros avec le salaire de novembre.

Pour le SE-UNSA, si cette prime est une bonne nouvelle pour les néo-titulaires, elle ne saurait tenir lieu de revalorisation de la fonction enseignante. Nous attendons toujours l’ouverture de discussions sur la revalorisation enseignante dont le rapport Pochard avait tracé des pistes et sur laquelle le SE-UNSA s’est largement exprimé.

Partager cet article
Repost0

Contacts

Météo

outils webmaster
 Bienvenue en Guadeloupe!